Enfin, le début. J’arrive à la gare d’Ootsuka sur la Yamanote ring à 7h du matin. Pas de train. Mince j’ai rendez-vous à 9h et je veux être à 8h à Akiba. 7h30, je perds patience et prend le métro. Je galère pour me repérer et arrive à 8h40 à Akiba, soit 10 min trop tard pour les soldes. Je pars vers Shimbashi et me rend compte une fois sur place que c’est pas le bon point de rendez-vous, je file donc vers Shinjuku et arrive avec 1h de retard. Le groupe ne m’a pas attendu, et c’est normal, j’ai deux solutions: Abandonner ou les rattraper. je choisi de les courser. Le premier bus avec une place vers le mont Fuji pars à 11h40. J’arrive à rattraper le groupe à 14h au lac de Kawaguchi (Kawaguchiko), juste à leur fin de repas. J’avale rapidement le même repas. Tellement stressé par le début de journée que je n’ai même pas vu les cartes postales dans le magasin mais pas des KitKat au wasabi, ni ceux à la pomme. Pour information, un pachinko a brulé, endomageant 3 autres batiments et les lignes du Shinkunsen. C’est presque revenu à la normale vers 14h.
Le temps se calme de mon côté, je profite de la croisière et file à l’onsen. L’onsen est plus joli, mais les bassins sont moins spacieux que celui d’Odaïba.
De retour à Tokyo, on enchaine par un repas de yakiniku à volonté à Ikebukuro. Comme d’habitude, l’adition pose problème mais cette fois il n’y a pas d’erreur sur ce qui est réclamé mais sur l’argent récolté. On fini la soirée dans un salle de machine à pince.